La connaissance est infinie
À mesure que je découvre de nouvelles choses dans ma vie, je me rends compte de mes propres limites et de l’évidence qu’une seule existence sur terre ne suffira pas à tout absorber.
À mesure que je découvre de nouvelles choses dans ma vie, je me rends compte de mes propres limites et de l’évidence qu’une seule existence sur terre ne suffira pas à tout absorber.
En confrontant des personnalités difficiles et en gérant des projets complexes, j’ai découvert mes propres limites en termes de tolérance au stress et de gestion du risque.
Dans ma jeunesse, j’ai fait partie des scouts. C’est avec eux que j’ai eu mes premiers contacts avec le ciel nocturne, apprenant à repérer des constellations telles que la grande ourse et à les utiliser comme points de repère pour m’orienter.
Cet arbre a pris le temps de renforcer ses racines, de s’adapter à cette situation inattendue et brutale avec les moyens qui lui restaient à disposition. Il est revenu de loin, mais il est revenu.
Tu ressens l’envie de sensibiliser ton entourage à une cause qui te tient à cœur ? Rien de tel que de donner l’exemple en la mettant en pratique toi-même.
Pour bien collaborer avec les autres, il est essentiel de développer une bonne connaissance de soi-même.
Le conseil que je souhaite te partager peut sembler direct et brut énoncé tel quel mais en réalité, le message est simple et clair : cesser de trop analyser et se lancer. Il y a un temps pour tout.
Ce conseil ne se limite pas à une simple invitation à sourire, mais représente plutôt un changement d’état d’esprit.
Je me questionne parfois sur l’application de la patience dans toutes les situations, mais une chose est certaine : prendre son temps est souvent gratifiant ou judicieux.
Il y a quelque temps, lors d’une discussion avec un ami, nous avons évoqué nos états d’âme et sommes arrivés à parler de la métaphore du verre à moitié vide ou à moitié plein.